Commission Tripartite – Conseil Régional le Jeudi 16 Avril 2020

Commission Tripartite     

Conseil Régional

le Jeudi 16 Avril 2020

par visioconférence

étaient présents pour le Conseil Régional de la Nouvelle Aquitaine:

MITTET Philippe, Directeur Général Adjoint

JOLLY François, Direction de la construction et de l’immobilier,

LONARD Rémy, Direction des Sports

CAGNON Thierry, Direction de l’Education

AESCHIMANNJ-Hugue, service des sports en charge des équipements sportifs

Mme COUTANCEAU, Secrétaire Générale du Pôle Education et Citoyenneté

étaient présents pour le SNEP-FSU:

PARVILLE Dominique, co-secrétaire académique du Limousin

DUMONTAUX Vincent, secrétaire départemental des Deux-Sèvres

MAUVILLAIN Christophe, secrétaire académique Poitou-Charentes

PIERRAT Christian, co-responsable équipements SNEP

Mme DURIN Annette, SNEP Limoges

CARE Jérémy, co-responsable équipements SNEP

 

Ordre du jour prévu et suggéré par le SNEP :

 1) retour sur votre document « point sur les travaux effectués » distribué l’année dernière, en fonction de nos remarques (après consultation des équipes concernées).

2) nouveau point sur les travaux en cours ou à venir.

3) point sur les installations sportives prévues concernant les nouveaux lycées de Créon et du Barp et possibilité d’être consulté, aussi bien sur ces futurs lycées que sur les travaux de rénovation.

4) point sur votre  guide de programmation en fonction des remarques que nous avons faites (dimensions salle de musculation …..).

5) point sur les piscines et notamment les fermetures programmées pour réfection avec les solutions alternatives que sont les bassins provisoires (Talence…).

6) liste des travaux sur les équipements hors lycées.

7) nouvelles visites annuelles?

8) point sur le dossier escalade et la non prise en compte des demandes (gymnase Santé Navale de Bordeaux, lycée Henri Brulle de Libourne, Jeay de Beaufort de Périgueux….

1) et 2) Retour sur le document et remarques du SNEP, points sur les nouveaux lycées

M. Pierrat évoque l’ordre du jour proposé qui est adopté.

M. Pierrat rappelle les remarques faites sur le document de l’année dernière en prenant comme exemple le lycée E.Combes à Bègles, la piste cendrée sur le Lycée à Eysines… Il souhaite avoir des réponses précises aux remarques formulées sur le document du Conseil Régional (CR).

 

Proposition est faite de la part de M. Mittet et de M. Jolly de fusionner les deux premiers points à l’ordre du jour. M. Mittet signale qu’un nouveau document va être envoyé pour mesurer l’avancé des travaux en cours sur les installations sportives des lycées de Nouvelle Aquitaine. M. Pierrat suggère de comparer ce nouveau document au précédent et de communiquer à M. Jolly les remarques faites. Ceci après consultation des collègues dans un souci constructif et afin de comparer le nouveau document à la réalité.

M. Pierrat précise que ce sera sa dernière réunion tripartite car partant en retraite. Remerciements mutuels ; M. Mittet insiste sur la qualité du travail mené par le SNEP et M. Pierrat depuis de nombreuses années et insiste sur les perspectives à donner sur le dossier des installations sportives. M. Pierrat précise que M. Care sera le nouveau référent du SNEP concernant le dossier des équipements sportifs.

M. Pierrat demande des précisions sur les nouveaux lycées de Créon et du Barp notamment sur la maîtrise d’ouvrage et sur le respect des préconisations du nouveau guide de programmation régional.

M. Mittet précise que sur la commune de Créon, concernant le gymnase, la Communauté de communes n’est plus en mesure de conduire financièrement le projet, ce sera donc la Région qui en assumera la maîtrise d’ouvrage. Ce sera un gymnase type E (26,3 X 48,2) selon les préconisations du guide de programmation. L’ouverture du lycée est prévue pour septembre 2023.

Pour M. Jolly, les choses avancent bien sur la commune du Barp où l’ouverture est prévue pour 2022. Pour le moment (avant les élections) concernant le gymnase,  la maîtrise d’ouvrage revient à la commune. Celle-ci s’étant engagée à construire également un dojo. Pour le gymnase ce serait un type C optimisé ( dégagements autour des terrains). M. Jolly précise qu’un travail est effectué avec la commune pour savoir si les besoins seront revus à la hausse.

M. Pierrat : « Le SNEP réaffirme la nécessité d’une surface de 48,2 x 26,3 (type E) sur les deux gymnases car il s’en dégage deux unités de travail intérieures (un terrain de hand ball et un mur d’escalade). Ceci permet ainsi de suivre aussi bien les recommandations ministérielles que régionales à savoir une EPS qui se pratiquerait 2/3 à l’intérieur et 1/3 à l’extérieur ».

M. Jolly nous informe que les discussions sont gelées à cause du confinement, elles doivent reprendre prochainement ; les dimensions du gymnase seront rediscutés ; pas de mur d’escalade de prévus pour le moment. La livraison est prévu pour 2022 sur le Barp et 2023 sur Créon ( retard du permis de construire , en attente de l’instruction du dossier, délais supplémentaires possibles 5 mois)

M. Pierrat demande des précisions sur la mutualisation des installations avec les partenaires extérieurs?

M. Mittet répond qu’une entrée extérieure sera prévue dans chaque gymnase pour permettre aux clubs et Associations d’utiliser les gymnases après les heures de cours.                                                                                                                                                    

M. Pierrat rappelle que le SNEP est pour une mutualisation des installations sportives.        

M. Pierrat rappelle également la nécessité de consulter le SNEP concernant les projets d’installations sportives car celui-ci a largement démontré une expertise avec ses référentiels aussi bien pour les gymnases neufs que pour les rénovations. Il cite comme exemple le gymnase du lycée V.Havel de Bègles qui a été amélioré par des suggestions du SNEP sans surenchère. Cette consultation a permis de mettre en avant des fonctionnalités non prévues à l’origine ( porte donnant sur le local à matériel depuis les terrains extérieurs….) et qui facilitent le fonctionnement pour les enseignants. L’absence de consultation sur le nouveau gymnase de Santé Naval au Lycée G.Eiffel a conduit à la pose d’un sol qui n’est pas conforme et sera à refaire. Nos interventions vont très souvent dans le sens des clubs (terrains de hand-ball en travers, terrains de basket_ball en travers du gymnase…). M. Pierrat cite également le lycée E. Faure de Lormont où les enseignants d’EPS n’ont pas été consultés sur les travaux de la salle de musculation et de la halle qui reste inutilisable car le problème des pigeons n’a pas été résolu.

M. Mittet se dit prêt à consulter le SNEP pour les travaux à venir et notamment les gymnases des nouveaux lycées,

M. Mittet et M. Jolly s’engagent à rappeler aux chefs d’établissements la nécessité d’inviter les professeurs d’EPS aux réunions de chantier,

M. Mittet insiste sur la position des chefs d’établissements « configurateurs », car ils sont la porte d’entrée sur les projets. M. Mittet précise qu’il insiste toujours auprès d’eux sur la nécessité d’associer les représentants des professeurs d’EPS et d’envisager une consultation la plus large possible. Il insiste sur le fait que ce sont les chefs d’établissement qui pilotent le chantier.

M. Dumontaux signale qu’il faut penser les prévisions de travaux en Unités de travail qui sont mises à disposition. Ce concept est primordial pour la profession. Il insiste sur la consultation du professeur coordonnateur au minimum qui doit être une priorité.

Pour M. Dumontaux, le problème se pose quant aux arbitrages de dépenses, en fonction des priorités car un chef d’établissement peut orienter les choix des budgets (exemple salles de svt/ gymnases). « On est trop dépendant des chefs d’établissement à ce sujet ».

M. Mittet répond que le CR doit être présent dans les C.A pour présenter ces projets et expliquer aux membres de la communauté éducatives les enjeux de ceux-ci,

M. Jolly précise que les chefs d’établissements proposent des priorités et que le CR échange avec les élus pour dégager des priorités qui ne sont pas les mêmes pour les uns et pour les autres. Suite à ces échanges le CR tranche.

3) Point sur le guide de programmation et les salles de musculation. (Cf document)

M. Pierrat signale que le guide de programmation régional est une avancée surtout quand le CR est maître d’ouvrage. Cependant des points méritent d’être revus comme les dimensions des salles de musculation qui, avec 89m2 préconisés, ne correspondent pas aux besoins dans les lycées avec des classes à 35, 36 37 élèves voire plus.

Pour M. Pierrat, d’autres points sont à revoir comme cela avait été signalé par le SNEP après la commission tripartite de l’année dernière :

– la hauteur de plafond de la salle de gymnastique de 4m qui est trop juste pour la pratique de l’acrosport, nous préconisons 5m,

– le tennis de table qui n’est pas mentionné dans les activités possibles dans les salles semi-spécialisées,

– la piste d’athlétisme en herbe !!!

– le plateau sportif où manque un terrain de basket (2 au lieu de 3),

– la structure d’escalade à l’horizontale à revoir,

– les espaces de rangement qui devraient être de 50m2 surtout quand les pratiques de la gymnastique et du tennis de table sont programmées.                                  

M. Pierrat signale des exemples de rénovations de pistes d’athlétisme qui n’ont pas pris en compte le revêtement synthétique comme pour le lycée C. Péguy de Bègles (piste refaite en cendrée!!!).

M. Mittet admet que courir sur un revêtement synthétique est préférable et qu’il préconisera ce matériaux.

Il ajoute qu’il faut être attentif à la contrainte écologique ( référence à la piste d’athlétisme en herbe) qui impose de faire des choix (recyclage..;). Il met en avant également les contraintes financières qui imposent des choix. Par exemple, passer de 20 à 50 m2 pour une espace de rangement c’est 150 000 € de plus.

Il précise :« Le message concernant les salles de musculation a bien été entendu, mais le foncier existant nous contraint. Sur des projets comme à Max Linder à Libourne, nous sommes sur des surfaces plus proches de vos demandes (150 m²) que sur Camblanes et Meynac ».

« Ces salles de musculation constituent des unités de travail à moindre coût pour le CR mais des coûts quand même, le doublement de la superficie double également les montants ».

M. Pierrat ajoute à nouveau qu’une salle de musculation de 89 m2 n’est pas envisageable dans l’usage en citant notamment le projet du lycée de Camblanes. Il précise que dans ce cas précis le CR se limite en prévoyant une construction de salle de musculation sur un espace contraint alors que ce lycée dispose d’un foncier important.

Pour M. Dumontaux, envisager l’activité musculation dans une salle de 89 m2 ne réunit pas les garanties sécuritaires avec une classe de Terminale à 35 élèves et plus. Il précise que lorsque que l’on parle de gaspillage d’argent, construire une salle inutilisable n’est pas acceptable.»

M. Jolly reconnaît un usage contraint en fonction des effectifs de classe.

M. Mittet se dit prêt à faire évoluer le guide en fonction des possibilités.

M. Pierrat revient à nouveau sur la salle de Camblanes en demandant de ne pas se précipiter sur ce projet afin d’envisager la construction d’une salle plus grande là où le foncier le permet.

Pour M. Jolly: l’opération de Camblanes envisagée sur l’existant est plus simple et moins coûteuse»

4) Les piscines:

  1. Pierrat rappelle le manque de piscines en Nouvelle Aquitaine et souligne l’importance du rôle du CR sur les aides apportées aux municipalités et les contraintes conditionnées à ces aides qui sont positives (piscine de 6 couloirs minimum). Il indique que les inquiétudes du SNEP et le manque de réponse sur ce sujet ont poussé à une action médiatique sur la ville de Talence où la situation va devenir catastrophique. En effet, 10 000 élèves vont être impactés par la fermeture de la piscine de Talence en novembre 2020. Cette situation catastrophique est amplifiée par la fermeture de la piscine universitaire qui reste fermée (depuis avril 2017) jusqu’à une date indéterminée.

Il précise que des propositions alternatives ont été faites par le SNEP-FSU notamment la pause d’un bassin mobile (bassin de 50m X 8 couloirs, couvert) d’un coût de 647 000€. Ce devis d’une société française spécialisée dans les bassins provisoires a été présenté à M. Bobet, Président de Bordeaux Métropole, en mars 2020. Celui-ci semble opter plutôt pour le phasage des travaux (fermeture à tour de rôle d’un bassin puis de l’autre) pour un coût qui s’élèverait à 2 M€ selon le Maire de Talence avec 6 mois de travaux supplémentaires.

M. Pierrat rappelle les directives nationales concernant l’importance du savoir nager (qui devient cause nationale) et les plans de prévention noyades qui justifieraient l’implantation d’un bassin mobile qui coûterait deux fois moins que le phasage des travaux.

M. Pierrat demande que le CR devienne un acteur principal sur ce dossier en précisant que l’intérêt d’une telle option serait de permettre de transporter ultérieurement ce bassin là où des travaux de rénovation de piscine seraient envisagés.

M. Mittet redemande des précisions sur les coûts de fonctionnement ; il réaffirme que le CR ne pourrait pas prendre en charge le coût des personnels mais que le CR peut effectivement réfléchir à la question.

M. Pierrat indique qu’il transmettra le devis de la société SELB à M. Mittet et à M. Jolly ; il précise par ailleurs que l’usage de ces bassins est courant, et qu’il a été expérimenté à l’INSEP et dans des villes comme Paris et Boulogne-Billancourt.

5) Les équipements prévus hors lycées:

Suite à la demande du SNEP, M. Léonard nous informe que le service des Sports du CR a financé en partie 63 équipements dont la moitié pour les lycées, et s’engage à vous fournir la  liste de ces travaux rapidement.

6) Point sur les nouvelles visites:

M. Léonard précise que la société SIALFI est le partenaire du CR concernant les visites d’établissements et les prévisions de chantier. Vingt visites sont programmées et notamment sur les secteurs de La Rochelle et du Grand Poitiers»

M. Pierrat: « Serait-il possible d’avoir un prévisionnel de ces visites pour l’année 2021?»

6) Dossier escalade

M. Pierrat signale que le SNEP a visité le nouveau gymnase Santé Navale utilisé par le lycée G. Eiffel de Bordeaux. Il indique avoir fait un certain nombre de réserves sur la qualité du sol posé qui présente déjà des signes d’usures anormales. Aucune SAE de prévue sur ce nouvel équipement alors que le lycée G.Eiffel a une option facultative dans laquelle il propose l’escalade.

M. Pierrat signale également la demande du lycée Jay de Baufort à Périgueux et du lycée Redon de Pauillac concernant la mise en place d’une SAE.

Il précise que l’investissement est moindre par rapport aux bénéfices de pratiques d’autant plus que cette activité va connaître une demande exponentielle compte tenu de son inscription aux futurs jeux olympiques.

M. Mittet émet des réserves sur cette activité qui présente un caractère de dangerosité. Il avoue avoir des réticences pour financer ce genre d’équipement. Il pense que les clubs sont plus à même de gérer cette pratique, et émet des doutes sur un usage dans le cadre EPS.

M. Dumontaux signale que le champ d’apprentissage N°2 n’est pas abordé dans la plupart des lycées faute de possibilité de se rendre sur des sites de pleine nature. Ainsi les programmes scolaires ne sont pas respectés. L’escalade rentre dans ce champ d’apprentissage et, de plus, le coût d’un mur d’escalade est très intéressant car n’imposant pas un surface au sol très importante.

M. Parvillé signale également que les rapports d’accidentologie ne font pas apparaître plus d’accidents dans cette pratique que sur l’acrosport par exemple. En EPS, la gestion du risque est primordiale ; la différence entre risque objectif et subjectif est à envisager ainsi que la sécurité active et passive. Les programmes d’EPS prennent en compte cette activité pleinement.

Ainsi, des protocoles de sécurité sont mis en place et des groupes de réflexions pédagogiques apportent leurs contributions. L’activité n’est pas dangereuse si les protocoles de sécurité sont respectés.

M. Cagnon admet que la légitimité de financement d’une SAE ainsi que son côté sécuritaire doivent être rediscutés.

Mme Durin précise que même si les SAE ne sont pas budgétisées au début d’un projet de construction il est nécessaire de préparer un mur pouvant les accueillir par la suite.

M. Léonard précise également que des murs existent déjà et qu’il est nécessaire d’envisager une mutualisation avec les clubs environnants.

Suite à la proposition de M. Cagnon, M. Pierrat propose de provoquer une réunion spécifique sur le dossier de l’escalade au mois d’octobre 2020.

M. Cagnon répond favorablement à cette proposition et souhaite que M. Léonard y soit associé.

7) Les remontées sur les chantiers en cours sur les départements : voici les réponses des représentants de la Région aux cas que nous leur soumettons

Sur Poitiers:

Loisellerie: les travaux n’ont pas commencé

Gaz de Baslac: en attente des rideaux, les travaux sur petit gymnase n’ont pas commencés.

Léoni de la croix: réfection de la piste d’Athlétisme?

Lycée de fontaines à Melle: Transformation de la piscine en salle de danse.

Limousin:

  • Sur le lycée agricole de Brive-Voutezac, le Conseil Régional déplore les retards dus principalement aux collectivités locales, qui n’étaient pas en accord avec le projet de la région : elles désiraient des tribunes, mais la subvention de la Région n’aidait que pour les surfaces directement utiles aux cours d’EPS. Si aucune solution n’est trouvée rapidement, les fonds ayant été votés et débloqués, les travaux débuteront sur le projet de la Région, les installations se situant intra-muros.
  • Sur le lycée Renoir : la situation est à l’étude, la Région a conscience des problèmes soulevés par l’équipe EPS et le chef d’établissement.
  • Sur le lycée Dautry : là aussi la Région a engagé des travaux pour l’accessibilité. Il semble qu’il y ait des problèmes de communication pour que les informations aillent jusqu’à l’équipe EPS, le chef d’établissement sera sollicité pour qu’elle soit informée rapidement des projets prévus.
  • Lycée Favard de Guéret : M. Mittet et M. Jolly soulèvent que le dossier du lycée Favard à Guéret est brûlant et les irrite. Les arguments sur la position de l’équipe de ce lycée sont repris côté SNEP par A.Durin et M. Parvillé qui reviennent sur les problématiques de dimension de gymnase (type B) et l’insalubrité des vestiaires. De nombreux échanges ont lieu, le CR indique que l’obstination des professeurs d’EPS risque de bloquer une quelconque rénovation du gymnase, seule une réhabilitation des vestiaires aura lieu de ce fait. M. Mittet revient sur le fait que ce gymnase a été rétrocédé au CR en 2015 qui hérite d’une installation à refaire dans sa totalité. Mme Durin indique qu’un gymnase type B est insuffisant pour permettre un enseignement de qualité étant donné le nombre d’élèves.

Sur la Gironde:

Au vue des délais de réunion dépassés, les représentants du SNEP/Gironde proposent de faire parvenir leurs questions sur certains établissements par mail.

En fin de réunion, M. Parvillé revient sur la différence de prise en compte des différents dossiers notamment sur la consultation des équipes.

M. Pierrat rappelle à nouveau que les collègues du lycée E. Faure n’ont pas été consultés pendant les travaux de la salle de musculation.

M. Mittet répond qu’effectivement la gestion des concertations des chefs d’établissement est différente d’un lycée à l’autre. Le cas de l’académie de Limoges est révélateur.

M. Pierrat, pour cette fin de réunion, souligne la qualité des échanges et souhaite que ce genre de réunion perdure dans l’intérêt de tous.

La réunion se clôture à 17h.