[audience] Le SNEP FSU en audience au Rectorat de Bordeaux

 Compte rendu – AUDIENCE RECTORAT – IPR- SNEP FSU du 25/05/2022

Le SNEP FSU de l’académie de Bordeaux a été reçu le mercredi 25 mai 2022 en audience au Rectorat de Bordeaux. Nathalie LACUEY et Fabrice ALLAIN ont rencontré M. MICHELI, DRH, Mme ZOU PERY, Cheffe de la DPE et M. DUVERDIER, IA-IPR pendant 1h30.

Cette audience, à l’initiative du SNEP FSU, a permis de parcourir un ensemble de sujet d’actualités :

  • Les fonctionnaires stagiaires
  • Les contractuels alternants
  • Le mouvement 2022 et les postes à profil (POP)
  • L’enseignement de spécialité.

Pour chacun des sujets, le SNEP FSU a porté son analyse, ses revendications et propositions, a questionné l’institution.

STAGIAIRES

Contexte et analyse :

La réforme de la formation prenant effet à la rentrée 2022 impose une affectation à temps plein pour une majorité des reçu-es au CAPEPS, ceux justifiant d’un master 2 MEEF ou d’une expérience dans la discipline significative (1 an et demi à temps plein sur les 3 dernières années). Le SNEP FSU dénonce cette réforme car :

  • Non compatible avec une formation et une entrée progressive dans le métier.
  • Soumise à une simple logique de récupération de moyens.

à Nos mandats :

  • Année Fonctionnaire Stagiaire (FSGT) : 1/3 temps sur service du tuteur (4h + 3hAS)
  • Année T1 (1ère année en tant que titulaire) : mi-temps pour favoriser la formation et un accompagnement sur le terrain. La 1ère année en tant que titulaire se situant très souvent sur des territoires sensibles.

Si nous ne pouvons revenir, à ce jour, sur la réforme, nous restons vigilants sur les conditions d’affectations, l’accompagnement de ces futurs collègues, les temps de formations qui leurs seront proposés (10 à 20 journées).

Cette première année est déterminante pour appréhender son futur en tant qu’enseignant. La réalité, c’est une baisse d’attractivité du métier, un nombre de démissions croissant, des enseignants fragilisés, en burn out.

Concernant les affectations :

  • Nous souhaiterions connaître les supports stagiaires
  • Nous appelons à un travail concerté entre équipes pédagogiques, chef d’établissements, IPR, service des moyens.

Dans le 64, en excluant le dialogue avec les IPR, les équipes péda (propos tenus en CTSD), pour garder la main sur les supports, le DASEN avoue la logique de variable d’ajustement, de récupération de moyens.

Pouvez-vous nous communiquer :

  • Le nombre de stagiaires EPS attendus à la rentrée 2022 ?
    • temps plein : nombre de postes bloqués/ nombre de BMP 17h bloqués
    • mi-temps : nombre de BMP bloqués

Rectorat : Les services des moyens avec les IPR sont en train de travailler sur les supports. Leur calibrage sera à l’équilibre avec les lauréat-es affecté-es dans l’académie.

  • Les supports : nom des établissements

Rectorat : encore en travail. Trois règles de principe sont observées :

  • Ne pas bloquer le mouvement intra-académique. Des postes sont convoités, des équipes pédagogiques sont en attente de stabilité afin de construire sur du long terme des projets.
  • Établissements proches des centres de formation (Bordeaux et Pau),
  • Bloc horaire suffisant
  • A quel moment les tuteurs et tutrices auront l’info indispensable pour la planification des EDT et l’organisation du suivi :

Rectorat : Pas de date précisée. Les affectations stagiaires sont arrêtées mi-juillet.

  • Modalités d’organisation des formations (10 à 20 journées) :
    • Sur quelles journées ?

      Rectorat : pas encore défini mais volonté d’avoir un jour défini et stable sur la semaine.

  • Où ?

      Rectorat : INSPE Bordeaux et INSPE Pau.

Nous réaffirmons :

  • L’importance du volontarisme des équipes accueillantes,
  • L’importance des conditions d’enseignement, public élèves, installations sportives,
  • L’importance de la proximité de l’INSPE même si les temps de formation sont fortement réduits. Le lien avec les formateurs doit être favorisé.

Aussi, connaître les supports stagiaires, c’est donner les moyens aux organisations syndicales :

  • D’accompagner les lauréats dans leurs vœux académiques : 80% des stagiaires nous sollicitent.
  • De communiquer des contacts d’équipe bien en amont de la rentrée scolaire. Le jeune enseignant souhaite se présenter, établir un lien avec ses futurs collègues, connaître les caractéristiques des élèves, les conditions matérielles, les cycles d’APSA, …, bien avant la rentrée.
  • D’informer les FSGT sur leurs démarches administratives, leurs droits (frais de formation, …)

à D’accompagner le travail de l’administration

Concernant les frais liés à la formation :

  • Le SNEP FSU demande de revenir sur l’application du décret de 2006 qui précise : « Si les déplacements occasionnés par les journées de formation initiale engendrent un coût annuel supérieur à 100€ par mois, le fonctionnaire stagiaires peut renoncer à l’IFF (indemnité forfaitaire de formation) et solliciter par écrit les conditions d’indemnisation (frais de transport + frais de mission + frais de stage) prévues dans le D 2006-781 du 03/07/2006. »

à Sur l’académie, le choix de la seule IFF doit être repensé : Des revalorisations et l’application du D 2006 sont plus que d’actualité avec des coûts de transports de plus en plus onéreux et pesant fort sur la rémunération à l’échelon 1 de la classe normale.

Rectorat : reconnaît l’insuffisance des moyens accordés, prend note de nos remarques sans nous assurer de possibles ajustements.

Titularisation et Commission :

Effectuant un suivi régulier des FSGT, avoir connaissance des situations fragiles, stagiaires proposés en renouvellement, nous semble important. Ne souhaitant à aucun moment nous substituer à l’administration, aux décisions prises, nous avons souvent joué un rôle dans la dédramatisation des situations et avons accompagné le/la jeune dans la projection positive d’une 2ème année de formation.

Entendre une autre parole, nous semble essentiel et participe de la formation.

Rectorat : les stagiaires le nécessitant ont reçu un accompagnement renforcé avec des résultats qui semblent probants. La commission de titularisation portera sa décision au vu de tous ces éléments.

CONTRACTUELS ALTERNANTS

Nous réaffirmons notre désaccord avec ce dispositif qui ne peut constituer une voie de formation et de réussite satisfaisante. Nous dénonçons là aussi une mesure guidée par une logique de moyens à moindre coût, d’une main d’œuvre pas chère en lieu et place de moyens conséquents pour une véritable formation 

Nous présentons l’enquête SNEP FSU contractuel alternant EPS 2021-2022

  • Éléments généraux :

L’enquête est nationale et a été envoyée en janvier 2022 à 200 contractuels alternants EPS. Nous avons eu 75 réponses soit 37,5% de réponses (et 18% du total).

Ils ont accepté de prendre un contrat majoritairement pour deux raisons :

  • « envie d’être sur le terrain » (93,3%) et
  • pour « raisons financières » (76%).

Il faut noter aussi que 20% d’entre eux nous indiquent qu’ils ont eu une « incitation forte des formateurs »

  • Service et accompagnement :

A plus 75% les contractuels alternants ont un service de 6h par semaine mais il existe une multitude de situations.

La moitié des personnels interrogés ont un forfait AS de 3h sur le 1er trimestre. L’autre moitié réalise 1h d’AS par semaine pendant toute l’année.

A plus de 90% le tuteur est dans le même établissement que le contractuel alternant.

Au moment de l’enquête (janvier 2022), la quasi-totalité (96%) des contractuels alternants a pu bénéficier de visite de leur tuteur (50% ont eu entre 1 et 3 visites, 26% ont eu plus de 3 visites).

Pour celles et ceux affectés en lycée, 15% enseignent à des classes certificatives.

  • Temps de trajet :

Établissement-INSPE : Seulement 25% des établissements supports se situent à moins de 30 min de transport de l’INSPE. 37% des établissements se situent entre 30 min et 1h. 36,5% des établissements se situent au-delà de 1h de transport

Domicile-établissement : plus de 29% des contractuels alternants se retrouvent à plus d’une heure de transport de leur établissement.

  • Difficultés / Remarques / Propos libres :

La principale difficulté avancée concerne la surcharge de travail entre la réalisation du mémoire, du contrat et la préparation du concours. Il n’est pas évident pour les CA de concilier études et contrat. Il revient souvent aussi que la distance importante entre l’INSPE, l’établissement et le domicile crée de la fatigue et engendre un coût important (à mettre en relation avec la hausse des prix de l’essence notamment). Enfin une difficulté liée à l’intégration dans l’établissement (posture, relation avec les collègues…) et la gestion des classes est à noter.

Les contractuels alternants pointent 3 principales pistes d’amélioration : Une plus grande proximité entre l’INSPE, l’établissement et le domicile afin de gagner du temps (et de l’argent !), une meilleure organisation dans l’établissement (suivi plus important du tuteur, diminution du nombre d’heures, …) et une formation à l’INSPE davantage centrée sur la préparation du concours ainsi que « plus proche » du terrain et des APSA.

Questions :

  • Combien de supports pour contractuels alternants prévus sur l’académie à la rentrée 2022 ?

Rectorat : non déterminé encore, en fonction des moyens et des besoins dégagés suite à finalisation des répartitions DHG dans les établissements.

  • Sur quels établissements ? Les distances établissement/INSPE engendrant coût, fatigue, … , doivent être considérées.

Rectorat : Quelques établissements déjà identifiés à la suite de concertation entre équipes pédagogiques, IPR, service des moyens. La proximité des INSPE sera regardée.

à Sinon quelle compensation ? IFF ?

Rectorat : Rien de prévu dans un contrat alternant.

  • Y-aura-t-il des entretiens comme l’an passé pour le recrutement ?

Rectorat : les entretiens ont débuté. 9 candidat-es sur Pau, 11 candidat-es sur Bordeaux. Rappel : 11 contractuels alternants affectés en 2021-2022

  • Sur quel niveau de Master 1 ou 2 ? Pour 2021-2022, cette alternance se situait sur l’année M2.

Rectorat : Pas de réponse (en attente de directive ministérielle ?)

  • Quel suivi des IPR ?

 Rectorat : Les contractuels alternants sont suivis par des professeurs référents. S’il apparaît de grosses difficultés, les IPR sont sollicités et interviennent dans l’accompagnement.

POSTES À PROFIL – POP

Ces postes à profil se mettent en place dans un contexte de suppression de postes, d’affectation de stagiaires à temps plein. La loi de transformation de la fonction publique de 2019 permet le développement de ces postes qui dérogent aux règles du paritarisme laissant la place aux affectations hors barème.

Notre analyse :

  • Remise en cause du droit à mobilité, sur une académie comme Bordeaux très attractive, ce sont 3 postes soustraits au mouvement inter et intra. Cette décision va à l’encontre de ce que le rectorat a avancé concernant les affectations stagiaires qui ne doivent pas bloquer les mutations !
  • Profilage souvent non fondé en lien avec un cahier des charges classique concernant les sections sportives scolaires. Ces postes à profil répondent à une commande politique avec la volonté :
    • D’un recrutement par chef d’établissement
    • D’une contractualisation des missions
    • D’une mise au pas de l’enseignant.

Arguments portés en CTA par rectorat pour la mise en place et le choix des établissements :

  • Établissements en zones peu attractives dans le but d’assurer des affectations de titulaires et la continuité du service public d’éducation.

à Aussi nous nous étonnons des choix St Jean d’Illac et Bayonne qui ne rentrent pas dans ces critères et qui pour St Jean d’Illac n’a pas fait l’objet d’une concertation avec les enseignants d’EPS. 

Sur l’académie, les supports choisis l’ont été sur départs en retraite.

Quelle concertation en interne avec les équipes pédagogiques ?

Quel cheminement a justifié les profilages des postes ?

Rectorat : La volonté du rectorat est d’avoir des enseignants titulaires sur tous les postes. Profiler certains sur des territoires ruraux donnent la garantie d’une continuité du service public d’éducation.

Concernant les sections sportives scolaires, l’objectif est d’assurer une animation effective par l’enseignant d’EPS. Le Rectorat précise qu’un prof d’EPS en place dans l’établissement peut demander le poste à profil de l’établissement.

Le SNEP FSU a porté en contre le besoin :

  • D’un recrutement massif, seul moyen d’assurer la nomination d’enseignants titulaires sur tous les territoires, les besoins en remplacement.
  • De formation continue tout au long de la carrière nécessaire pour s’engager sur de nouveaux projets, de nouvelles missions, enrichir et renouveler ses pratiques, ses enseignements.
ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ ÉDUCATION PHYSIQUE, PRATIQUES ET CULTURE SPORTIVES (EPPCS)

En 2021, bien qu’opposés à la réforme du lycée, nous actions l’avancée pour notre discipline de pouvoir offrir un enseignement de spécialité. De même, nous nous félicitions du volontarisme du rectorat de Bordeaux, et saluions une mise en place sur 5 établissements, 1 par département, alors qu’il n’était prévu en premier lieu que 2 ou 3 établissements par académie.

Cette mise en place à titre expérimental cette année devait prendre un caractère d’élargissement pour la rentrée 2022. L’enquête que nous avions menée auprès des lycées de l’académie révélait qu’un bon nombre d’entre eux étaient favorables à l’accueil de cette spécialité. Sur 27 retours, 24 étaient favorables à l’accueil de la spécialité, 6 seulement avaient été approchés par IPR, chef d’établissement (CE).

Lors de l’audience du 20 janvier 2021, sur le thème, M. Le Gall, secrétaire général précisait que les établissements qui ont une « culture EPS » seraient regardés en priorité pour le développement ultérieur de la spécialité. De même nous avons évoqué l’idée que l’option pouvait exister conjointement à l’enseignement de spécialité, les élèves ayant pour chacun d’eux des profils différents, des projets de poursuite d’études distincts.  Ce n’est pas soit l’un soit l’autre. Le rectorat ne s’y opposait pas.

Le constat pour la rentrée 2022, nous laisse sur notre faim !

  • Seulement 2 établissements supplémentaires offriront cet enseignement.
  • La majorité des établissements n’ont pas eu connaissance du calendrier de la campagne de candidature, calendrier par ailleurs très court dans ses délais (4 septembre 2021/ 8 octobre 2021) pour un dossier conséquent.
  • Les lycées offrant cet EDS en 2021, ont dû faire des choix, faute de moyens horaires et de postes, sur l’enseignement optionnel existant. Nous continuons à affirmer que les 2 doivent pouvoir coexister ou a minima, donner les moyens pour un enseignement optionnel en 2nd afin de constituer un vivier et une préparation à l’enseignement de spécialité.

à La nécessité de plus de temps à donner aux équipes pour le dossier de candidature est indispensable : calendrier élargi avec rappel, accompagnement de l’inspection, mise en relation avec les équipes d‘établissement ayant déjà l’EDS pour mutualisation, échanges, anticipation sur travail qui s’avère très chronophage.

à Quelle activité, communication comptez-vous réaliser pour accompagner les équipes pédagogiques dans la constitution de leur dossier ? Travail de mutualisation ?

 Rectorat : un calendrier élargi dans le temps va être mis en place. Les équipes désireuses de postuler doivent se rapprocher de l’inspection et solliciter un accompagnement.

à Le dialogue se fait par le CE ou en direct avec les équipes ?

Rectorat : Le travail est concerté entre chef d’établissement et équipe pédagogique.

à Quelle capacité d’accueil de cet EDS vous fixez-vous ?

Rectorat : Pas de capacité arrêtée

à La Gironde qui compte la moitié des lycées de l’académie semble peu encouragée dans l’accueil de l’EDS.

Rectorat : Le rectorat s’étonne de cette question, leur volonté étant de promouvoir l’EDS sur des territoires où l’accès à la culture sportive est moins aisé.

Le SNEP FSU réaffirme que cet enseignement de spécialité (EDS) comme tous les EDS doit pouvoir être proposé dans la majorité des établissements. Aussi la Gironde représentant 45% des lycées de l’académie n’offre pas suffisamment cette EDS.

à Quels moyens vous envisager pour faire coexister l’enseignement optionnel et l’EDS ?

 Rectorat : l’autonomie de la gestion DHG des établissements reste la règle.

Nous faisons remarquer que l’option et l’enseignement de spécialité peuvent coexister dans un établissement.

IPR : C’est vrai mais la problématique se situe du côté des moyens de l’établissement (la DHG)

Constat après une 1ère année : peu d’abandon d’élèves, 80% poursuivent cet EDS en terminale.

C’est une bonne nouvelle, pour autant les enseignants d’EPS attendent :

  • Des IPR, de l’IG : productions, ressources, corpus à mettre à disposition. Les équipes attendent un plus grand accompagnement. La mise en place de cet EDS, un an après les autres « souffre » de ce décalage et d’une ambition exagérée à devoir par le niveau très élevé de ses contenus à légitimer sa place. Cette surenchère doit être régulée et l’inspection doit jouer tout son rôle pour faire que les équipes enseignantes très volontaires ne se mettent pas dans le « rouge ».

à Ne peut-on pas envisager comme sur l’académie de Lyon, des heures de pondération ou ex-heure de 1ère Chaire ? Soit 0,1 HSA/h ainsi un enseignant effectuant 10 h en EDS (4h 1ère + 6h term) pourrait prétendre à 0,1x10h soit 1h de décharge ?)

 Rectorat : pas de moyen horaire prévu sur l’académie de Bordeaux. Prend note et va se rapprocher du rectorat de Lyon.

  • Du Rectorat : doit donner des moyens DGH, financiers (via région) pour achat de matériel vidéo, pour déplacements sur infrastructures (IS).

Rectorat : Les équipes EPS doivent participer en novembre à la campagne du conseil régional pour demande de gros matériel.

Constat de la problématique de la mixité des publics : seulement 26,2 % de filles intègrent cet EDS sur l’académie.

  • L’inspection a-t-elle menée une réflexion sur cette problématique ?

Rectorat : pas de réflexion menée

  • Avez-vous réfléchi à des leviers qui pourraient être mis en œuvre pour un plus grand investissement de cet EDS par les filles ? 

 Rectorat : Non

Réflexion SNEP FSU : cet objectif de plus de filles doit être pensé sur le long terme et au sein de nos enseignements dès le plus jeune âge. C’est un combat à mener dans le cadre de l’orientation et de conviction auprès des filles. Cf enquête SNEP FSU « filles et STAPS » : à sportivité égale, les filles se sentent moins sportives, se censurent, se sentent moins en capacité de faire et de réussir, s’imposent davantage de contraintes. Un travail non négligeable dans nos enseignements doit être réalisé sur la valorisation de la pratique des filles.

à Un stage formation sur ce thème pourrait-il être programmé ?

Rectorat : la problématique est à considérer et la réflexion d’un stage intéressante.

BILAN

Les échanges se sont déroulés dans un climat favorable, d’écoute et de respect.

Chaque point a pu être argumenté, nos propositions exprimées.

Si la volonté de dialogue a bien été constatée, nous déplorons par ailleurs, avec un ordre du jour précisé bien en amont de l’audience, un manque de réponses précises, chiffrées.